Les médailles olympiques n’ont pas toutes la même valeur

Marketing sportif

Les annonceurs sont généralement en amour avec les médailles d’or. Donc, il y a un premier tri qui s’effectue. Ils sont aussi en amour avec l’image des athlètes. C’est ce qu’ils achètent à bien des égards parce qu’ils espèrent qu’on va associer cette image de performance, de dépassement, de détermination, de santé à la marque.

Il y a là un deuxième tri qui se fait. On veut une bonne histoire, on veut que les gens se souviennent de l’athlète. Et on veut que l’athlète soit là encore pour quelques années.

Et cette fenêtre pour signer une entente, elle est courte parce que déjà, dans quelques semaines, on sera en septembre et ce sera le hockey qui recommence.

Comme je le mentionne à Stephan Bureau et Louis Lacroix, si j’étais un annonceur, je pense que Maude Charron et l’équipe féminine de soccer sont extrêmement intéressantes. Cette année, je crois que ce sont les athlètes féminines qui vont être signées. Dans le cas de De Grasse, il est déjà signé par Puma.