Super Bowl 2012 : stratégies publicitaires, annonceurs, retombées économiques

Apple
Un peu plus tôt aujourd’hui, à l’occasion de ma chronique avec Benoît Dutrizac, nous avons parlé du Super Bowl 2012, plus particulièrement des coûts de la publicité, des principaux annonceurs (Pepsi-Cola, Coca-Cola, GM, Budweiser), des stratégies marketing, des pubs légendaires du Super Bowl et des retombées économiques de ce match qui opposera cette année les Patriots de la Nouvelle Angleterre aux Giants de New York.
Comme nous le savons maintenant, le Super Bowl est un événement sportif mais aussi une grande fête de la publicité et de la consommation. Il faut dire qu’avec des cotes d’écoute considérables (autour de 110 millions de téléspectateurs annuellement) et un taux de zapping quasi nul, le match final de la NFL est devenu LE rendez-vous du monde de la publicité et du marketing en Amérique du Nord.
Il y a quelques années, un sondage Nielsen réalisé auprès de 25 000 ménages confirmait la passion des téléspectateurs pour la publicité. En effet, Nielsen a contaté que la majorité des téléspectateurs du match du Super Bowl sont plus intéressés par les publicités que par la confrontation sportive elle-même.
Sans surprise, Nielsen notait aussi que les publicités présentés en début de match généraient des taux de mémorisation et d’appréciation supérieurs à celles diffusées en fin de match. C’est dire l’importance du facteur pub dans cette classique annuelle.

Pour ceux qui s’intéresseraient aux origines de cette grande fête de la pub, je vous invite à visionner cette entrevue réalisée avec Sébastien Bovet de Radio-Canada dans laquelle je reviens sur le fameux message publicitaire « 1984 » d’Apple.